Ils ont l’esprit d’entreprise, des idées et du talent le goût du travail et de l’indépendance, la passion de leur métier et ce petit grain de folie qu’il faut pour se lancer. Ils ont l’esprit d’entreprise, des idées et du talent le goût du travail et de l’indépendance, la passion de leur métier et ce petit grain de folie qu’il faut pour se lancer
Et parce qu’ils sont représentatifs de la richesse et de la diversité du tissu économique de notre territoire, nous avons demandé à l’un d’entre eux de témoigner. Pourquoi et comment du jour au lendemain, Cédric Rouire a t-il décidé de devenir son propre patron, de tenter l’aventure dans l’ingénierie numérique ?
Nous espérons ce témoignage sera une source d’inspiration pour tous ceux d’entre vous qui désirent se mettre à leur compte mais qui n’ont pas encore osé franchir le pas.
Alors, facile ou pas de créer sa petite entreprise ?
À vous de voir!
[ Tout a commencé….]
« Tout a commencé en 2009 lorsque j’ai créé la société. La vocation était double, la première était celle d’entreprendre la deuxième était l’envie de travailler plus localement sur un territoire que j’adore et sur lequel je vis. J’ai était incubé dans les premières années de la création de la société par le RILE de Carpentras, donc ça m’a apporté beaucoup de choses. D’une part de pouvoir casser l’isolement du chef d’entreprise qui est souvent dans sa bulle. Et la mise en réseau puisque dans une pépinière vous avez l’avantage d’être en connexion directe avec des entreprises qui ne font pas parti de facto de votre cœur de métier. Une pépinière c’est également un lieu pour vous accueillir, des gens pour discuter, des gens que vous côtoyez; j’ai trouvé cela extrêmement précieux dans les premières années de la société. »
[Qu’est ce qui vous rend le plus fier du chemin parcouru ?]
« Le chemin je n’en suis qu’au début ! Ce qui me rend le plus fier, c’est d’avoir créé tout simplement un écosystème, une équipe, d’être implanté localement, j’en suis très fier. Je pense que le territoire aujourd’hui à besoin de sociétés comme les nôtres pour se stimuler économiquement sur d’autres axes que les axes historiques que l’on connait autour de l’agro-alimentaire. Ca me rend extrêmement fier de pouvoir brandir le totem du numérique sur un territoire comme celui de Carpentras.«
[Qu’attendez-vous du label French Tech ?]
« La French Tech c’est une formidable impulsion collective qui a amené à la labellisation du territoire. C’est un label thématique, la culture Tech. J’en attends aujourd’hui finalement la reconnaissance du territoire comme une zone d’activité économique avec une capacité à entreprendre forte »
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